Jeudi 14 novembre, Valérie Oppelt dévoilait dans Ouest‐France sa première proposition de campagne : augmenter les effectifs de la police municipale de 85 agents pour les porter à 200. C’est joli, 200, ça fait un compte rond et au moins, on ne peut pas parler de surenchère. Car, sur le fond, la proposition (qui comprend la création d’une brigade à moto et d’une brigade cynophile et auquel s’ajoute un renforcement de la vidéo‐surveillance ou la création d’un comité sécurité métropolitain) n’a rien de franchement original. Laurence Garnier, la candidate LR, qui a fait de la sécurité son cheval de campagne depuis longtemps déjà, propose depuis plusieurs semaines de doubler purement et simplement le nombre de postes (et de les armer). C’est joli aussi « doubler », mais ça fait un compte moins rond : 230 policiers, contre 115 aujourd’hui.
Même Johanna Rolland, au début de sa campagne avait enfourché le thème, en annonçant la création d’une police métropolitaine des transports (32 agents, un chiffre pas rond du tout). Pour le moment, seule Julie Laernoes (mais la tête de liste Nantes en commun, Margot Mekdour n’a pas encore abordé le sujet) ne propose pas de recruter. Dans Presse‐Océan, le 12 novembre, la candidate écologiste propose « avant de parler de plus d …