Tout candidat(e) aux élections législatives le sait : à l’issue de la campagne, victorieuse ou non, ses comptes doivent être déposés devant une commission spécialisée, la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP). Cette autorité administrative indépendante, dont le président est nommé par décret du Président de la République, a pour mission de les valider. Une tâche cruciale, qui permet au candidat(e) d’obtenir – ou non – le remboursement des frais engagés.
Cette validation, Sarah El Haïry en a bénéficié le 13 novembre 2017, cinq mois après son élection comme députée de la 5e circonscription de la Loire‐Atlantique avec 61,02 % des suffrages (elle disposait du soutien du Modem et de La République en marche). De fait, sur ses 33 876 euros de dépenses de campagne, l’État lui a remboursé 27 659 euros. Pourtant, derrière ces comptes validés, se cachent des pratiques
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