Avec ou sans coronavirus, l'exploitation des autoroutes et des aéroports tire toujours les bénéfices du géant français du BTP. Des activités pour lesquelles ses filiales bénéficient d’aides publiques, via le chômage partiel, sans s’interdire parfois de licencier, comme à l’aéroport Lyon Saint-Exupéry.
La crise ? Quelle crise ? Le 8 avril dernier, l’assemblée générale des actionnaires du groupe Vinci a voté pour la distribution de dividendes sur l’exercice 2020, au même niveau qu’en 2019. Avec une action valorisée à 2,04 euros, ce ne sont pas moins d’1,1 milliard d’euros qui leur seront versés à la fin du mois. Mediacités s’est plongé dans les (bons) comptes du géant français du BTP.
Premier enseignement : ce n’est pas le secteur de
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