« Absence de toute subvention de la sphère publique ». « Initiative privée autofinancée à 100% qui ne reçoit aucune subvention publique »… Le Puy du Fou le martèle à longueur de temps, de communiqués et jusque dans ses spectacles : il ne devrait sa réussite qu’à lui‐même. Et, surtout pas, à une quelconque aide de l’État ou des collectivités. Dans la réalité, pourtant, le parc et ses gestionnaires ont régulièrement bénéficié de sérieux coups de pouce au fil de ses quarante‐cinq années de folle expansion.
Au commencement était d’ailleurs « l’offrande » publique originelle. Soit l’achat, en 1977 par le conseil général de Vendée alors vice‐présidé par Jacques de Villiers (divers droite), des ruines du château du Puy du Fou, « découvertes » par son fils émerveillé, Philippe. Montant de la transaction
Nous vous offrons l’accès à cet article
Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner !
En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
Attention, journal en danger !
Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation sur les pouvoirs locaux et ses enquêtes ont de l’impact dans les villes. Aujourd’hui notre existence est menacée.
Soutenez la rédaction, ses journalistes et la démocratie locale :
Je soutiens Mediacités
- en vous abonnant (69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement) pour lire toutes les enquêtes
- en effectuant un don (défiscalisable à 66%) pour soutenir le travail et assurer la survie d’un journal local indépendant, sans pub et à impact.