Il est l’un des plus actifs de France. Le groupe local d’Anticor à Nantes ne souffre pas des conséquences liées à la perte d’agrément de l’association anticorruption. Bien au contraire, il suit de près les 13 enquêtes préliminaires dont il est à l’origine.
Le couperet est tombé le 26 décembre dernier. Trois ans après le début de ce feuilleton politico‐judiciaire (lire l’encadré ci‐dessous), Anticor perd l’agrément ministériel qui lui permettait de se porter « partie civile » dans des affaires de corruption. Ou, en d’autres termes, de représenter les citoyens qui ne peuvent pas agir en justice dans ce genre de cas.
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