L’inquiétude croît chez le groupe industriel Cahors, depuis sa reprise par Grégoire Libert

Par le biais de stratégies financières entièrement légales, Grégoire Libert s’est rendu propriétaire du Groupe Cahors en 2019. Depuis, l’expert-comptable procède au redressement des usines de ce fleuron lotois. Mais de nombreux salariés redoutent que sa méthode n'engendre un démantèlement et une mise en liquidation des sociétés.

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Lors d'une grève, le 11 janvier, chez Maec, la plus grosse filiale du groupe Cahors. Photo Elisa Centis

Racheter des entreprises, puis les démanteler en réalisant de juteux bénéfices personnels. La pratique est familière pour qui a vu Pretty Woman. Dans ce film, le personnage joué par Richard Geere, Edward Lewis, n’achète des sociétés que pour les revendre pièce par pièce. Cette fiction du XXe siècle pourrait‐elle se réaliser dans la France du XXIe siècle ? C’est ce que redoutent des salariés du Groupe Cahors, une société industrielle centenaire spécialisée dans le secteur du pilotage et la distribution d’énergie.

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Par Elisa Centis

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