« Je viens d’acheter un cheval pour me rendre à la fac, j’arriverai plus à l’heure ». Sur le réseau social X, cet étudiant qui emprunte chaque jour la ligne 1 du métro pour se rendre à l’université choisit l’ironie pour faire part de son agacement face à une énième interruption de service. D’autres usagers, en ligne ou en station, n’ont plus cette retenue et expriment leur colère de manière plus véhémente.
« Sincèrement, je remercie les usagers de leur patience, ils sont très résilients. Et ceux qui s’énervent, bien sûr, on les comprend aussi », confie Eddy Paurisse, technicien de ligne et délégué syndical CFDT chez Keolis Lille Métropole, l’exploitant du réseau Ilévia.
Depuis le dimanche 17 novembre, des milliers d’usagers de la ligne 1 – celle qui relie le CHU de Lille au Grand Stade en passant par les campus universitaires – subissent au quotidien la chaotique mise en service du nouveau système de pilotage automatique.
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