En proie à des difficultés budgétaires depuis des mois, le club villeurbannais, sans lien avec l’Asvel de Tony Parker, échappe à la liquidation mais va devoir se réorganiser pour apurer sa dette qui frôle les 400 000 euros.
C’est « l’autre Asvel » de Villeurbanne, mais sans les moyens financiers de son prestigieux homonyme. Confronté à une dette estimée entre 350 000 et 400 000 euros, l’Asvel VBF (Villeurbanne basket féminin) a été placé début février en redressement judiciaire, comme l’a relaté Le Progrès. Cette décision du tribunal de commerce est presque une bonne nouvelle pour le club : il échappe à la liquidation mais il va devoir rééquilibrer ses comptes et apurer ses dettes sous la houlette d’un mandataire.
En juin dernier, Mediacités avait documenté en détails la situation de ce club historique de Villeurbanne devenu un vrai panier percé. Nous révélions notamment que