Et les candidats En Marche aux législatives sont…

Qui seront les candidats du mouvement d’Emmanuel Macron aux législatives de juin dans le Nord ? Vieux briscards de la politique, nouveaux visages issus de la société civile, hurluberlus échoués sur les terres macronistes ? Sortez les mouchoirs, il va y avoir des déçus. Révélations.

Emmanuel Macron
Emmanuel Macron, candidat à l'élection présidentielle en meeting (crédit: Olivier Mirguet)

A moins de trois mois des élections législatives, plus de 13 000 personnes ont déposé leurs candidatures sur le site d’En Marche pour tenter de décrocher une investiture à l’un des 577 postes de député(e)s. Et combien, parmi elles, pour les 21 places dans le Nord ? « Il n’y a pas de comptabilité par département ou par circonscription, explique Jean‐Paul Delevoye, président de la commission d’investiture du mouvement à Mediacités. Parfois il y a une quinzaine de candidats pour une circonscription, parfois deux ou trois. »

Les équipes d’Emmanuel Macron ont été claires : pour renouveler le paysage politique français, les 577 candidats d’En Marche seront composés pour moitié de femmes et, dans la même proportion, de personnes issues de la société civile. Libre à chacun de proposer sa candidature sur le site en déposant un CV, une lettre de motivation, une photo. Il faut aussi avoir un casier judiciaire vierge et remplir un formulaire. Ensuite, une commission d’investiture composée de neuf personnes (six femmes et trois hommes) analyse, circonscription par circonscription, la sociologie du secteur, les rapports de forces politiques et le parcours des sortants pour dessiner un « profil idéal ». Une enquête sur la probité des candidats et leurs propos sur les réseaux sociaux complète l’examen.

Dans le Nord, où En Marche revendique plus de 3 000 adhérents, c’est le référent départemental du mouvement, Christophe Itier, qui est chargé de repérer les talents avec « un groupe d’adhérents de 25 personnes, dont 15 se penchent sur les stratégies électorales ». On retrouve dans ce petit cercle de simples …

Nous vous offrons l’accès à cet article

Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours  !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner  !

En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
  • J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
  • Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité

Attention, journal en danger !

Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation sur les pouvoirs locaux et ses enquêtes ont de l’impact dans les villes. Aujourd’hui notre existence est menacée.
Soutenez la rédaction, ses journalistes et la démocratie locale :

Je soutiens Mediacités

  • en vous abonnant (69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement) pour lire toutes les enquêtes
  • en effectuant un don (défiscalisable à 66%) pour soutenir le travail et assurer la survie d’un journal local indépendant, sans pub et à impact.

Publié le

Modifié le

Temps de lecture : 4 minutes

Favorite

Par Laurie Moniez

Attention : journal en danger !
Soutenez Mediacités !

Depuis bientôt huit ans, notre journal d’investigation propose des enquêtes sur les pouvoirs locaux dans les grandes métropoles. À Lille, Lyon, Nantes et Toulouse, des dizaines de journalistes publient en toute indépendance des informations inédites qui nourrissent le débat public et produisent de l’impact.
Aujourd’hui, notre campagne de financement participatif a dépassé 75% de l’objectif. Aidez-nous à atteindre les 100% d'ici au 31 décembre !
On vous explique tout ici :

Comment soutenir Mediacités ?

D’ici au 31 décembre, chaque coup de pouce compte !

Ceci fermera dans 25 secondes