Cinq dirigeants du centre islamique de Villeneuve d'Ascq étaient poursuivis pour abus de confiance, en raison de prêts au lycée musulman Averroès. Le tribunal a prononcé leur relaxe, une décision qui sonne comme un lourd désaveu pour l'ex-préfet du Nord Georges-François Leclerc, à l'initiative de la procédure.
« Ce dossier était parti de suspicions de radicalisation et le tribunal a estimé qu’il ne ressortait aucun élément de radicalisation. » Le 15 mars, le tribunal judiciaire de Lille a prononcé la relaxe de cinq dirigeants de la mosquée du Centre islamique de Villeneuve d’Ascq (CIV), poursuivis pour tentative d’escroquerie et abus de confiance.
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