Alors qu’il aborde le second tour en très mauvaise posture, le maire de Lyon a quémandé une alliance à son ancien dauphin. Sans succès.
Collomb versus Kimelfeld, épisode 587. Le gouvernement ayant fixé la date du deuxième tour des élections municipales – et métropolitaines dans le Grand Lyon – au 28 juin prochain, l’interminable guéguerre entre le maire de Lyon et son ancien dauphin, qui briguent tous deux le trône de la Métropole, a repris de plus belle. Ce week‐end, Gérard Collomb a appelé de ses vœux « un large rassemblement » : « Il faut à la tête de notre métropole une équipe qui, comme par le passé, puisse réunir des élus de sensibilités politiques diverses ».
Avec 17,3% des voix au premier tour, le 15 mars dernier, l’actuel maire de Lyon aborde la phase finale en ballotage très défavorable. Certes, le maître