Malgré l’opposition historique d’EELV au projet ferroviaire, le Grand Lyon de Bruno Bernard a renouvelé, pour 30 000 euros, la cotisation de la collectivité à l’association la Transalpine. Alors même que ce comité cultive une certaine opacité sur ses comptes et son fonctionnement.
Un même parti, deux nuances de vert. Après son élection à la mairie de Grenoble en 2014, l’écologiste Eric Piolle avait claqué la porte de la Transalpine, association de promotion du Lyon‐Turin. Ses cousins lyonnais de la Métropole de Lyon, dirigée depuis juillet dernier par Bruno Bernard (EELV), préfèrent eux continuer de financer ce lobby du méga‐projet ferroviaire qui promet de relier la France et l’Italie en passant sous les Alpes.
Dans un arrêté pris le 18 février dernier, le Grand Lyon a renouvelé, pour