Dans un courrier cinglant, la présidente de l’université Lumière Lyon-2 acte l’abandon du rapprochement prévu avec Lyon-1. Elle critique sévèrement l’égocentrisme et l’arrogance de son ex-futur partenaire, qui s’engage - seul, donc - dans une vaste restructuration interne.
« L’université Claude Bernard [Lyon‑1] fixe comme condition au regroupement des établissements, non pas l’élaboration d’une stratégie conjointe, mais la soumission de ses partenaires à sa propre stratégie, ce qui n’est pas acceptable. Nous pensons qu’un projet collectif ne peut se construire de cette manière. » Les mots sont diplomatiques, ils n’en restent pas moins durs et sans équivoque. Le 11 janvier dernier, Nathalie Dompnier, la présidente de Lyon‑2, a écrit une lettre à
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