Après le limogeage de Nathalie Perrin‐Gilbert, le mouvement Lyon en commun réduit à peau de chagrin

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La vice-présidente du Grand Lyon Laurence Boffet. Photo : N.Barriquand/Mediacités.

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Par Nicolas Barriquand

Après les Insoumis, d’autres partenaires de « NPG », dont la vice-présidente du Grand Lyon Laurence Boffet, ont claqué la porte du groupe qui avait porté la candidature municipale de l’ancienne adjointe à la Culture de Grégory Doucet.

Réaction en chaîne. Huit jours après le limogeage de Nathalie Perrin‐Gilbert de l’exécutif lyonnais, la famille politique de l’ex-adjointe à la Culture n’en finit plus de s’éparpiller façon puzzle… Les insoumis Laurent Bosetti, adjoint au maire de Lyon chargé des services publics, et Aurélie Gries, élue dans le 7e arrondissement, avaient très vite annoncé (avant même le retrait de la délégation de leur collègue) qu’ils quittaient le groupe « Lyon en commun ». Ce mouvement avait porté la candidature de « NPG » aux élections municipales de 2020 et participe, depuis, à la majorité de l’écologiste Grégory Doucet.

Ils ont depuis été imité par Adrien Drioli, élu à la ville et dans le 9e arrondissement, membre du parti Gauche républicaine et socialiste (fondé par d’anciens membres de l’aile gauche du Parti socialiste). Dans

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