« Le temps mis à juger fait que tout tombe à l’eau », résume Pierre Robillot, l’avocat de l’université Lyon‑2 sur ce dossier. Une décision du Conseil d’Etat, rendue le 20 mars dernier et repérée par Mediacités, apporte l’épilogue d’une affaire emblématique du traitement des violences sexistes et sexuelles dans l’enseignement supérieur, impliquant un ancien professeur de linguistique arabe. Et elle n’est satisfaisante pour aucune des parties. En cause, donc : la lenteur de la justice.
D’instances disciplinaires en tribunaux, la procédure en question s’est étirée sur plus de sept ans. Elle opposait Monsieur J., enseignant accusé de
Nous vous offrons l’accès à cet article
Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner !
En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
Envie de lire la suite ?
1€ le premier mois
Puis 7,90€ par mois
Je teste !
- Accès aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
- Résiliation facile à tout moment
Mediacités offre l’accès à cet article aux lecteurs de News2Com
Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner !
En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité