La candidate LR à la mairie de Nantes a tenu son premier meeting ce jeudi soir salle Nantes-Erdre. Elle en a profité pour dévoiler la liste des 69 personnes qui composent la liste « Mieux Vivre à Nantes». Une liste censée être à l’image des habitants, mais où les dirigeants et les cadres sont surreprésentés.
La candidate LR à la mairie de Nantes a tenu son premier meeting jeudi 17 janvier à la salle Nantes‐Erdre. Elle en a profité pour dévoiler la liste des 69 personnes qui composent la liste « Mieux Vivre à Nantes ». Une liste censée être à l’image des habitants, mais où les dirigeants et les cadres sont surreprésentés.
Sur ses affiches, ses tracts, son site internet, aucune mention de parti politique n’apparait. Seule indication sur les affiches, en guise de baseline sous son nom « Union du centre et de la droite ». A la lecture de la liste, la droite est assurément présente. Le centre, en revanche, se fait bien plus discret… Et pour cause. Comme sa rivale Johanna Rolland, Laurence Garnier a du composer avec le départ de plusieurs colistiers potentiels vers la liste de la marcheuse, Valérie Oppelt (Hervé Grélard et Xavier Fournier). Seule rescapée du centre : l’UDI Anne‐Sophie Guerra, troisième sur la liste Garnier. Une nouvelle tête centriste (UDI) fait néanmoins son entrée dans le top 10 : Pauline Weiss, avocate en droit social pour le cabinet Racine à Nantes.
La majorité des « encartés » est donc bel et bien membre des Républicains, à commencer par les actuels conseillers municipaux d’opposition, Guillaume Richard, Julien Bainvel et Benoît Stekr‐Ridel (ancien secrétaire de section LR), pour ne prendre que les premiers de la liste.
L’éternel retour de la « société civile »
Pourtant, Laurence Garnier l’assure : sa liste représente un « kaléidoscope de la population nantaise ». Pour preuve, « la majorité des colistiers sont …