Une liste de droite plutôt « classique » pour la candidate LR à Nantes, Laurence Garnier

Garnier liste
Les 69 membres de la liste Garnier présentés lors du premier meeting de la candidate LR à nantes. / Photo : Antony Torzec

Publié le

Temps de lecture : 3 minutes

Favorite

Par Antony Torzec

La candidate LR à la mairie de Nantes a tenu son premier meeting ce jeudi soir salle Nantes-Erdre. Elle en a profité pour dévoiler la liste des 69 personnes qui composent la liste « Mieux Vivre à Nantes». Une liste censée être à l’image des habitants, mais où les dirigeants et les cadres sont surreprésentés.

La candidate LR à la mairie de Nantes a tenu son premier meeting jeudi 17 janvier à la salle Nantes‐Erdre. Elle en a profité pour dévoiler la liste des 69 personnes qui composent la liste « Mieux Vivre à Nantes ». Une liste censée être à l’image des habitants, mais où les dirigeants et les cadres sont surreprésentés.

Sur ses affiches, ses tracts, son site internet, aucune mention de parti politique n’apparait. Seule indication sur les affiches, en guise de baseline sous son nom « Union du centre et de la droite ». A la lecture de la liste, la droite est assurément présente. Le centre, en revanche, se fait bien plus discret… Et pour cause. Comme sa rivale Johanna Rolland, Laurence Garnier a du composer avec le départ de plusieurs colistiers potentiels vers la liste de la marcheuse, Valérie Oppelt (Hervé Grélard et Xavier Fournier). Seule rescapée du centre : l’UDI Anne‐Sophie Guerra, troisième sur la liste Garnier. Une nouvelle tête centriste (UDI) fait néanmoins son entrée dans le top 10 : Pauline Weiss, avocate en droit social pour le cabinet Racine à Nantes.

La majorité des « encartés » est donc bel et bien membre des Républicains, à commencer par les actuels conseillers municipaux d’opposition, Guillaume Richard, Julien Bainvel et Benoît Stekr‐Ridel (ancien secrétaire de section LR), pour ne prendre que les premiers de la liste.

L’éternel retour de la « société civile »

Pourtant, Laurence Garnier l’assure : sa liste représente un « kaléidoscope de la population nantaise ». Pour preuve, « la majorité des colistiers sont …

Nous vous offrons l’accès à cet article

Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours  !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner  !

En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
  • J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
  • Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité

Attention, journal en danger !

Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation sur les pouvoirs locaux et ses enquêtes ont de l’impact dans les villes. Aujourd’hui notre existence est menacée.
Soutenez la rédaction, ses journalistes et la démocratie locale :

Je soutiens Mediacités

  • en vous abonnant (69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement) pour lire toutes les enquêtes
  • en effectuant un don (défiscalisable à 66%) pour soutenir le travail et assurer la survie d’un journal local indépendant, sans pub et à impact.

Attention : journal en danger !
Soutenez Mediacités !

Depuis bientôt huit ans, notre journal d’investigation propose des enquêtes sur les pouvoirs locaux dans les grandes métropoles. À Lille, Lyon, Nantes et Toulouse, des dizaines de journalistes publient en toute indépendance des informations inédites qui nourrissent le débat public et produisent de l’impact.
Aujourd’hui, notre campagne de financement participatif a atteint son premier objectif.
Pour garantir notre indépendance et contribuer au développement d’une presse locale d’investigation, aidez-nous à aller plus loin et à atteindre 110% d’ici au 31 décembre !
On vous explique tout ici :

Comment soutenir Mediacités ?

Chaque coup de pouce compte !

Ceci fermera dans 30 secondes