Dans la Métropole de Nantes, elles sont sept listes à concourir sous l'étiquette “Communes en commun.e.s", la même que celle menée par Margot Medkour à Nantes. Une appellation partagée qui cache parfois de sérieuses différences politiques.
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Le mouvement citoyen Nantes en commun·e·s, soutenu par la France insoumise (LFI), s’est fait une place surprise dans la campagne électorale nantaise, bien incarné par la médiatique Margot Medkour et malgré une maladresse de dernière minute. Jusqu’à inquiéter la liste écologiste Nantes Ensemble avec qui les négociations en vue d’un rapprochement ont capoté. À l’échelle de la Métropole, sept listes surfent sur la vague depuis un an et se présenteront dimanche sous le label « Communes en commun·e·s », dans les communes de Bouguenais, La Montagne, Nantes donc, Rezé, Saint‐Herblain, Saint‐Sébastien‐sur‐Loire et Vertou. Leur point commun ? Elles se situent à la gauche du PS et d’EELV et s’opposent à toute « métropolisation » de Nantes.
« La métropole est devenue un immense vaisseau ingérable, trop loin des habitants, dont la gestion est totalement dépolitisée, confie ainsi Margot Medkour, à Mediacités. Nous sommes pour décentraliser les pouvoirs au sein de la métropole pour les redonner aux …