Alors que la commune de 10 000 habitants au nord de Nantes est secouée par les affaires, le conseil municipal a entériné lundi la nomination de cinq nouveaux adjoints. En espérant soudé la majorité autour de son maire et préserver le statu quo.
« Il faut que tout change pour que rien ne change… » Bien sûr, Treillières n’a pas grand chose à voir avec la Sicile de la fin du XIXe. Et son maire, Alain Royer, guère plus de chose en commun avec don Fabrizio Corbera, prince de Salina. Mais tout de même : pour ceux qui assistaient lundi soir au conseil municipal de la commune du nord de Nantes, la situation faisait inévitablement écho à la plus célèbre des formules du Guépard de Lampedusa.
Secouée depuis plusieurs semaines par les révélations de Mediacités et