Une zone humide de cette commune du nord de Nantes avait été remblayée pour pouvoir y organiser des courses de chevaux éphémères. Une opération non conforme à la législation environnementale juge la préfecture de Loire-Atlantique, qui souligne l'implication du maire, Alain Royer.
« Les emmerdes, ça vole en escadrille»… En ce début de mandat, le dicton chiraquien semble avoir été taillé sur mesure pour la mairie de Treillières, commune de 10 000 habitants au nord de Nantes. Après les démissions d’adjoints en cascade qui ont suivi les enquêtes de Mediacités sur les pratiques du maire, Alain Royer, la ville a été contrainte par le tribunal administratif de Nantes d’acheter la vieille jardinerie Gamm’vert de la commune pour 722 000 euros, ainsi que nous le révélions le 28 janvier dernier. Et voilà que le préfet de Loire‐Atlantique la somme à présent de régulariser la situation de « l’hippodrome » illégal du Dominu. Dans un arrêté en date du 22 janvier 2021 (à lire ci‐dessous)