Dans leur bataille contre un projet éolien sur une commune voisine, le fondateur du parc d'attraction vendéen et son fils avaient trouvé le soutien de la préfecture de Vendée. Mais patatras : la Cour administrative d'appel de Nantes vient finalement de contraindre cette dernière à délivrer les autorisations nécessaires.
Coup de tonnerre dans le ciel du Puy du Fou. Dans une décision rendue vendredi 2 avril 2021, la cour administrative d’appel de Nantes a « enjoint » au préfet de la Vendée de délivrer l’autorisation environnementale nécessaire à la construction de trois éoliennes sur la commune vendéenne de Chantonnay, à une vingtaine de kilomètres du parc d’attraction de la famille de Villiers, le Puy du Fou. Les services de l’État, qui ont quatre mois pour s’exécuter, devront aussi payer au passage 1 500 euros de frais de justice à la société par actions simplifiée (SAS) « Parc éolien de la Plaine de la Minée », une filiale du groupe éolien allemand WKN/PNE.
Cette décision sonne comme un camouflet pour Philippe de Villiers : le fondateur