Le militant maoïste accusé d’avoir tagué l’immeuble de François de Rugy blanchi par la justice

immeuble_rugy
Le tag inscrit en juillet 2019 sur la façade de l'immeuble ou se trouvait l'appartement loué par François de Rugy à Orvault. / Photo : DR

Publié le

Modifié le

Temps de lecture : 3 minutes

Favorite

Par Guillaume Frouin (PressPepper)

« De Rugy escroc, on te fera payer »... Au lendemain de sa démission du ministère de l'Environnement, le 17 juillet 2019, le message s'inscrivait en lettres rouges sur l'immeuble abritant l'appartement nantais de François de Rugy. Police et justice avaient sorti les grands moyens pour retrouver leur auteur présumé. Il vient d'être relaxé...

Tout ça pour ça… Ces dernières semaines, la justice française aura beaucoup travaillé autour de l’appartement de François de Rugy à Orvault, près de Nantes. Pour un résultat équivalent dans les deux affaires concernés : la relaxe des prévenus. La première, prononcée le vendredi 2 avril, concernait Mediapart, qui avait été attaqué en diffamation par l’ancien ministre pour l’un des articles de la série concernant son train de vie (en l’occurrence celui sur ce logement « à vocation sociale » loué à Orvault) qui déboucha sur sa démission du ministère de l’Environnement.

Jeudi 15 avril, c’est le militant « maoïste » accusé d’avoir tagué l’immeuble où se trouve la résidence nantaise du député LREM qui a été relaxé

Nous vous offrons l’accès à cet article

Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours  !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner  !

En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
  • J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
  • Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité

Attention, journal en danger !

Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation sur les pouvoirs locaux et ses enquêtes ont de l’impact dans les villes. Aujourd’hui notre existence est menacée.
Soutenez la rédaction, ses journalistes et la démocratie locale :

Je soutiens Mediacités

  • en vous abonnant (69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement) pour lire toutes les enquêtes
  • en effectuant un don (défiscalisable à 66%) pour soutenir le travail et assurer la survie d’un journal local indépendant, sans pub et à impact.

Attention : journal en danger !
Soutenez Mediacités !

Depuis bientôt huit ans, notre journal d’investigation propose des enquêtes sur les pouvoirs locaux dans les grandes métropoles. À Lille, Lyon, Nantes et Toulouse, des dizaines de journalistes publient en toute indépendance des informations inédites qui nourrissent le débat public et produisent de l’impact.
Aujourd’hui, notre campagne de financement participatif a dépassé 75% de l’objectif. Aidez-nous à atteindre les 100% d'ici au 31 décembre !
On vous explique tout ici :

Comment soutenir Mediacités ?

D’ici au 31 décembre, chaque coup de pouce compte !

Ceci fermera dans 25 secondes