Vinofutur : un nouveau média pour disséquer l’avenir du vignoble

vignoble_nantais
Baptisé Vinofutur, un nouveau journal s'intéresse au futur de la vigne et des vignerons. Ici, le vignoble nantais. / Photoe : Creative Commons - Falcon® Photography

Publié le

Modifié le

Temps de lecture : 2 minutes

Favorite

Par Benjamin Peyrel

Gel, intempéries, maladies... Alors que le vignoble français traverse une année particulièrement difficile, un nouveau journal nantais lève le nez du verre et s'intéresse à la manière dont les viticulteurs s'adaptent au changement climatique. Comment cultiveront-ils dans 50 ans ? Et que boirons-nous ? Vinofutur se penche sur l'avenir de la vigne et du vin.

« Un niveau historiquement bas »… Conséquence du gel printanier, des intempéries de l’été et du mildiou, le volume de la production française de vin a plongé cette année, pour atteindre 34,2 millions d’hectolitres (soit, tout de même, plus de 4,5 milliards de bouteilles). Un seuil qui renvoie les viticulteurs français à l’année 1957 et qui fait passer la France au troisième rang des plus grands pays producteurs, derrière l’Italie et, pour la première fois, l’Espagne.

Dans le seul vignoble nantais, particulièrement frappé cette année par les aléas climatiques, la Chambre d’agriculture des Pays‐de‐la‐Loire s’attendait fin août à une baisse de 70% des volumes de raisin récolté. Du jamais vu là encore depuis des années, pire encore que le gel de 91 qui avait précipité la filière dans une crise qui dure encore.
Quel vignoble et quels vins en 2072 ?
Avec le changement climatique, ces “aléas” risquent de se multiplier. Comment les viticulteurs se préparent‐ils au changement ? Quel vin produiront‐ils dans 50 ans ? Et comment ? Quel avenir pour nos terroirs, nos cépages et nos appellations ? Dans quelle direction nos modes de consommation du vin vont‐ils se diriger ? C’est à ces questions – cruciales – qu’est aujourd’hui confrontée la filière française, à l’heure d’inventer un nouveau modèle viticole. Et c’est à partir d’elles qu’un nouveau journal papier nantais – indépendant …

Nous vous offrons l’accès à cet article

Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours  !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner  !

En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
  • J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
  • Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité

Attention, journal en danger !

Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation sur les pouvoirs locaux et ses enquêtes ont de l’impact dans les villes. Aujourd’hui notre existence est menacée.
Soutenez la rédaction, ses journalistes et la démocratie locale :

Je soutiens Mediacités

  • en vous abonnant (69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement) pour lire toutes les enquêtes
  • en effectuant un don (défiscalisable à 66%) pour soutenir le travail et assurer la survie d’un journal local indépendant, sans pub et à impact.

Attention : journal en danger !
Soutenez Mediacités !

Depuis bientôt huit ans, notre journal d’investigation propose des enquêtes sur les pouvoirs locaux dans les grandes métropoles. À Lille, Lyon, Nantes et Toulouse, des dizaines de journalistes publient en toute indépendance des informations inédites qui nourrissent le débat public et produisent de l’impact.
Aujourd’hui, notre campagne de financement participatif a dépassé 75% de l’objectif. Aidez-nous à atteindre les 100% d'ici au 31 décembre !
On vous explique tout ici :

Comment soutenir Mediacités ?

D’ici au 31 décembre, chaque coup de pouce compte !

Ceci fermera dans 25 secondes