Relaxe confirmée ! Attaqué en diffamation, le journal satirique vendéen a vu une nouvelle fois toutes les demandes du créateur du Puy-du-Fou rejetées par le tribunal.
Cette fois, « le Vicomte » a définitivement mangé son chapeau. Jeudi 16 décembre, la cour d’appel de Paris a confirmé en appel la relaxe du Sans‐Culotte, attaqué en diffamation par Philippe de Villiers. Comme nous le relations précédemment, l’affaire remonte à février 2019, quand le fondateur du Puy du Fou attaque le journal satirique vendéen après la parution d’un article recensant la parution aux éditions Max Milo de Puy du Fou : la grande trahison, un livre enquête sur le parc d’attraction écrit par Christine Chamard, une ancienne proche de la famille Villiers.
L’ancien président du Conseil départemental de Vendée, désormais proche d’Eric Zemmour, a‑t‐il subitement voulu se lancer dans l’un de ces « procès bâillon » destinés à accroître les difficultés économiques de titres de presse à la santé financière déjà fragile ? Ou n’a‑t-il pas supporté que les critiques sur sa création proviennent d’une ancienne bénévole du parc et journaliste du très conservateur Valeurs Actuelles ? Toujours est‐il que depuis plus de dix ans que nos confrères enquêtent sur le parc d’attraction vendéen et son créateur, c’était la première fois qu’il les traînait en justice.
Bien mal lui en a donc pris. Débouté en première instance le 11 novembre 2020, Philippe …