Le quinzième titre majeur du club nantais va lui permettre de toucher des dotations fixes et variables de la part de la FFF et de l’UEFA. Auxquelles s’ajouteront des retombées en termes de billetterie ou de transferts de joueurs. Mediacités fait l’addition.
Les confettis et l’ivresse de la victoire des Canaris sur l’OGC Nice en finale de Coupe de France ce samedi 7 mai retombent à peine à Nantes. Une fête un peu contrariée pour Waldemar Kita, avec la garde à vue ce mardi, révélée par Presse‐Océan, de trois de ses collaborateurs au sein du club (finalement relâchés). Et ce dans le cadre de l’enquête sur des transferts de joueurs litigieux, entamée fin 2020, en parallèle de celle du parquet national financier (PNF) qui le vise personnellement depuis 2017 pour des soupçons de fraude fiscale.
Pourtant une autre question se pose déjà, dont la réponse peut donner le sourire à l’homme d’affaires franco‐polonais. Combien la SASP FC Nantes va‐t‐elle empocher grâce à ce quinzième titre majeur de son équipe première masculine ? Pour son parcours victorieux en Coupe de France, la dotation totale versée par de la Fédération française de football pour un club de Ligue 1 est de 2,065 millions d’euros, selon
Nous vous offrons l’accès à cet article
Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner !
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
Attention, journal en danger !
Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation sur les pouvoirs locaux et ses enquêtes ont de l’impact dans les villes. Aujourd’hui notre existence est menacée.
Soutenez la rédaction, ses journalistes et la démocratie locale :
- en vous abonnant (69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement) pour lire toutes les enquêtes
- en effectuant un don (défiscalisable à 66%) pour soutenir le travail et assurer la survie d’un journal local indépendant, sans pub et à impact.