Sa dissolution au point mort, Nantes Révoltée contre attaque

2022-06-Capture-décran-Nantes Révoltée
Capture d'écran page Facebook Contre attaque (ex-Nantes révoltée)

Publié le

Modifié le

Temps de lecture : 2 minutes

Favorite

Par Thibault Dumas

Il y a cinq mois, Gérald Darmanin annonçait sa volonté de dissoudre Nantes Révoltée. Depuis ? Rien. Ou plutôt si : le « groupement » ou « média » d’extrême gauche a changé de nom pour toucher un public national. Pas franchement ce que le ministre de l'Intérieur ou l'ex-députée (LREM) Valérie Oppelt espéraient...

Cinq mois et « toujours rien »… Comme le confirme à Mediacités l’un de ses quatre avocats, Me Raphaël Kempf, Nantes Révoltée n’a toujours rien reçu du ministère de l’Intérieur. Le 25 janvier dernier pourtant, c’est sur un ton martial et sentencieux que Gérald Darmanin annonçait devant l’Assemblée nationale lancer la dissolution du « groupement » d’extrême gauche nantais. 

Le ministre répondait alors à une question de l’ex-députée marcheuse de Nantes Valérie Oppelt, qui faisait elle‐même suite à une manifestation ponctuée de quelques dégradations dans le centre‐ville nantais, quelques jours plus tôt. Emballement pré‐électoral ? Sans doute, tant les difficultés légales, que nous relevions déjà un mois après l’annonce gouvernementale, semblent insurmontables. Elles reposent notamment sur la classification possible de Nantes Révoltée en « média », « ind …

Nous vous offrons l’accès à cet article

Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours  !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner  !

En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
  • J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
  • Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité

Attention, journal en danger !

Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation sur les pouvoirs locaux et ses enquêtes ont de l’impact dans les villes. Aujourd’hui notre existence est menacée.
Soutenez la rédaction, ses journalistes et la démocratie locale :

Je soutiens Mediacités

  • en vous abonnant (69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement) pour lire toutes les enquêtes
  • en effectuant un don (défiscalisable à 66%) pour soutenir le travail et assurer la survie d’un journal local indépendant, sans pub et à impact.

Attention : journal en danger !
Soutenez Mediacités !

Depuis bientôt huit ans, notre journal d’investigation propose des enquêtes sur les pouvoirs locaux dans les grandes métropoles. À Lille, Lyon, Nantes et Toulouse, des dizaines de journalistes publient en toute indépendance des informations inédites qui nourrissent le débat public et produisent de l’impact.
Aujourd’hui, notre campagne de financement participatif a dépassé 75% de l’objectif. Aidez-nous à atteindre les 100% d'ici au 31 décembre !
On vous explique tout ici :

Comment soutenir Mediacités ?

D’ici au 31 décembre, chaque coup de pouce compte !

Ceci fermera dans 25 secondes