D'après une étude de l'Insee, Nantes se classe à la 3e place des communes les plus attractives pour les Franciliens. Plutôt jeunes quand ils débarquent, ces derniers sont aussi plus aisés.
Ils sont au cœur de nombreux débats de la vie publique nantaise : l’attractivité de la métropole depuis une vingtaine d’années, les bouleversements des modes de vie qu’elle entraîne, la flambée des prix de l’immobilier, etc. Ils, ce sont les 5 000 Franciliens qui quittent chaque année l’Ile-de-France pour venir s’installer à Nantes, plaçant la ville à la troisième place du classement des communes françaises les plus prisées des déçus de la région parisienne. Derrière Lyon et Toulouse, mais devant Marseille, Lille ou encore Rennes.
https://www.mediacites.fr/enquete/nantes/2021/11/18/metropole-de-nantes-dans-les-coulisses-de-la-crise-du-logement/
C’est – entre autres – ce qu’on apprend à la lecture d’une étude de l’Insee, rendue publiquue jeudi 22 septembre. Agés majoritairement de moins de 40 ans, ces nouveaux arrivants débarquent dans la Cité des Ducs avec un niveau de vie médian supérieur de 33%, en moyenne, à celui des ménages habitant déjà à Nantes. La différence atteint même 47% lorsqu’on s’intéresse aux seuls ménages âgés de 40 à 59 ans. Un avantage de poids au moment d’entrer sur un marché de l’immobilier particulièrement tendu, comme l’indiquait Jean‐Charles Veyrac, le vice‐président de la Chambre des notaires de Loire‐Atlantique, au micro de Télénantes, lundi 26 septembre.
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