De la prison avec sursis requise au procès des colleuses nantaises

Unegalaxiefeministe
Slogan féministe collé sur une façade. / © Photo : Benjamin Peyrel

Publié le

Temps de lecture : < 1

Favorite

Par Benjamin Peyrel

Accusées de rébellion et de violences, Marianne Thion et trois autres féministes nantaises comparaissaient lundi 28 novembre devant le tribunal de Nantes.

Le jugement a été mis en délibéré au 12 décembre. Lundi 28 novembre, quatre colleuses féministes nantaises comparaissaient devant le tribunal de Nantes pour rébellion. Parmi elles, Marianne Thion, dont Mediacités vous dressait le portrait la semaine dernière. Cette dernière était en plus poursuivie pour « violences sur personne dépositaire de la force publique ».

Nous vous offrons l’accès à cet article

Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours  !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner  !

En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
  • J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
  • Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité

Profitez de toutes nos enquêtes !

Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation indépendant sur les pouvoirs locaux. Et ses enquêtes ont de l’impact !
Abonnez‐vous pour profiter d’infos exclusives sur votre ville et soutenir le travail de ses journalistes.
(69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement)

Je soutiens Mediacités