Les « regrets » sans effets de Nantes université pour les librairies locales

Carine Bernault presidente de Nantes Universite fevrier 2022 (c) Thibault Dumas
Carine Bernault, présidente de l'université de Nantes juillet 2020. / Photo : Thibault Dumas

Publié le

Temps de lecture : 2 minutes

Favorite

Par Guillaume Frouin (PressPepper)

La polémique enfle après la révélation par Mediacités du retrait du marché de la fourniture des livres universitaires aux librairies locales Durance et Vent d’Ouest. Si elle regrette le choix d’un de leurs concurrents lyonnais, la présidente de l’université, Carine Bernault, soutient qu’elle ne pouvait faire autrement.

Nantes Université tenait hier, mercredi 18 janvier, sa conférence de presse de rentrée. L’occasion pour sa présidente, Carine Bernault, de souligner le « choix politique » qu’elle a fait en présentant d’emblée un budget en déficit. « On ne veut pas dégrader les conditions d’études de nos étudiants et les conditions de travail de nos personnels. La sous‐dotation de l’État est injuste

Nous vous offrons l’accès à cet article

Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours  !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner  !

En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
  • J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
  • Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité

Profitez de toutes nos enquêtes !

Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation indépendant sur les pouvoirs locaux. Et ses enquêtes ont de l’impact !
Abonnez‐vous pour profiter d’infos exclusives sur votre ville et soutenir le travail de ses journalistes.
(69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement)

Je soutiens Mediacités