Particules fines : Nantes dans les profondeurs d’un classement sur la qualité de l’air

Periph-Nantes
Le périphérique nantais près de la porte Atlantis, un jour où tout allait bien. / Photo Creative Commons par Vascer

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Par Benjamin Peyrel

Alors que la métropole nantaise a connu plusieurs jours d'alerte à la pollution, un classement établi par l'hebdomadaire Le Point montre que la qualité de l'air s'y améliore moins vite que dans la plupart des grandes villes françaises.

Alerte rouge ! Vendredi et samedi dernier, 10 et 11 février, la préfecture des Pays de la Loire avertissait les habitants de Loire‐Atlantique, du Maine‐et‐Loire et de Sarthe d’un épisode de pollution atmosphérique. En début de semaine, les cartes d’Air Pays de la Loire teintaient encore en écarlate (mauvaise qualité de l’air) plusieurs zones de ces départements, dont les agglomérations de Nantes, d’Angers et du Mans. En cause : les fameuses particules fines PM10 et PM2,5 (inférieures à 10 et 2,5 micromètres), responsables chaque année, selon Santé Publique France, de 40 000 décès dans l’Hexagone.

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