Né en Loire-Atlantique en 2020, le Collectif national des correspondants locaux de presse (CNCLP) a été reçu ce mardi 19 décembre par le cabinet de la ministre de la Culture. Une première rencontre qui pourrait amener à clarifier le statut de ces « petites mains » de la presse quotidienne régionale, rémunérées en minuscules « honoraires ».
Leurs noms n’apparaissent jamais en bas des articles de la presse quotidienne régionale, dont ils produisent pourtant près de 70 % du contenu. En France, les correspondants locaux de presse (CLP) sont près de 30 000. Une armée de « petites mains » quasi‐bénévoles qui ne sont pas rémunérés en salaires, comme les journalistes professionnels, mais moyennant des « honoraires ».
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