Le conseiller municipal et régional (ex-LR) vient d’officialiser sa candidature aux municipales 2026 pour « réenchanter Nantes ». Dans son camp cependant, trois autres opposants à Johanna Rolland sont encore sur les rangs.
Voilà la machine lancée, coûte que coûte. Au bout d’une semaine pourtant saturée médiatiquement par la mort du pape François et l’attaque au couteau au lycée Notre‐Dame‐de‐Toutes‐Aides, Julien Bainvel (divers droite) a annoncé ce samedi 26 avril qu’il était « candidat [aux municipales de 2026] pour mettre un terme au déclassement insupportable de la ville de Nantes », dirigée par Johanna Rolland (PS) depuis dix ans.
Depuis un (nouveau) café‐restaurant de la (nouvelle) gare de Nantes, le conseiller municipal et régional affirme quant à lui vouloir « réenchanter la ville ». Clin d’œil à Jean Blaise, autre “Réenchanteur de villes” et pape de la culture nantaise des années Ayrault‐ Rolland, l’expression semble néanmoins montrer que Julien Bainvel ne souhaite pas incarner une rupture totale.