Au Département, l’opposition réclame des moyens pour exercer son rôle

élus opposition département CD31
Les élus départementaux d'opposition de Haute-Garonne réclament des moyens. / Crédit photo compte Twitter de Sophie Lamant.

Publié le

Modifié le

Temps de lecture : 2 minutes

Favorite

Par Gael Cérez

Quatre mois après les élections départementales, les élus d'opposition siégeant au conseil départemental de Haute-Garonne ont-ils été oubliés par l'administration ?

Quatre mois après les élections départementales, les élus d’opposition siégeant au conseil départemental de Haute‐Garonne ont‐ils été oubliés par l’administration ? « Cela fait des mois que nous essayons d’avoir des moyens. Les services nous disent « oui, oui », mais rien n’est fait. Résultat, nous n’avons pas pu préparer la session plénière dans de bonnes conditions », s’insurge Sophie Lamant, conseillère départementale UDI. Première adjointe à la mairie de Balma, l’élue s’est fendue d’un tweet pour exprimer son courroux.

https://twitter.com/SophieLamant/status/1453025249956610052

« Nous n’avons ni bureau ni ordinateur ni photocopieur ni enveloppe financière pour embaucher un collaborateur », renchérit son binôme (LR) Jean‐Baptiste de Scoraille. L’élu d’opposition, par ailleurs adjoint à Toulouse, a interpellé le président socialiste Georges Méric à ce propos, devant l’assemblée départementale réunie mardi 26 octobre. « Il n’était pas au courant visiblement. Je ne suis pas naïf, mais j’espère que mon coup de gueule est passé, s’agace‐t‐il. On va dire que c’était de la négligence, car ce serait mesquin si c’était fait volontairement. Je comprends qu’on ne soit pas la priorité, mais la démocratie doit passer. »

Jean‐Baptiste de Scoraille et Sophie Lamant, qui souhaitent mutualiser leurs moyens avec les binômes (divers‐centre …

Nous vous offrons l’accès à cet article

Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours  !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner  !

En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
  • J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
  • Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité

Attention, journal en danger !

Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation sur les pouvoirs locaux et ses enquêtes ont de l’impact dans les villes. Aujourd’hui notre existence est menacée.
Soutenez la rédaction, ses journalistes et la démocratie locale :

Je soutiens Mediacités

  • en vous abonnant (69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement) pour lire toutes les enquêtes
  • en effectuant un don (défiscalisable à 66%) pour soutenir le travail et assurer la survie d’un journal local indépendant, sans pub et à impact.

Attention : journal en danger !
Soutenez Mediacités !

Depuis bientôt huit ans, notre journal d’investigation propose des enquêtes sur les pouvoirs locaux dans les grandes métropoles. À Lille, Lyon, Nantes et Toulouse, des dizaines de journalistes publient en toute indépendance des informations inédites qui nourrissent le débat public et produisent de l’impact.
Aujourd’hui, notre campagne de financement participatif a dépassé 75% de l’objectif. Aidez-nous à atteindre les 100% d'ici au 31 décembre !
On vous explique tout ici :

Comment soutenir Mediacités ?

D’ici au 31 décembre, chaque coup de pouce compte !

Ceci fermera dans 25 secondes