Une alliance rose et bleue contre les verts et rouges à Toulouse Métropole
Jean-Luc Moudenc a passé un pacte « de gouvernance » avec plusieurs élus socialistes et radicaux pour diriger Toulouse Métropole.
Jean-Luc Moudenc a passé un pacte « de gouvernance » avec plusieurs élus socialistes et radicaux pour diriger Toulouse Métropole.
Alors que le conseil régional des Pays de la Loire doit être renouvelé dans huit mois, les candidats (putatifs) avancent leurs pions. Chacun à sa façon.
Hasard du calendrier, ils ont été élus les 1er et 3 juillet derniers. La nouvelle présidente de l’Université de Nantes, Carine Bernault, et le nouveau directeur de Centrale Nantes Jean-Baptiste Avrillier, ont notamment pour mission sauver le projet d’I-Site NeXT.
Réélue mécaniquement présidente de Nantes Métropole, la socialiste est attendue au tournant pour son deuxième mandat. Les écologistes récupèrent cinq vice-présidences importantes, quelques nouvelles têtes apparaissent, mais la garde rapprochée de la maire de Nantes garde la main sur quasiment tous les dossiers majeurs.
Deux ans de démissions en série au sein d’une majorité municipale tourmentée, suivis de huit mois d’une campagne municipale houleuse… Entre Gérard Allard, le maire (PS) battu et Hervé Neau, son ancien adjoint, le passage de relais promettait d’être tendu. Il le fut. Et augure de semaines compliquées pour le nouveau maire.
Officiellement maire depuis samedi, l’écologiste Grégory Doucet a dévoilé les attributions de ses adjoints. Les intitulés valent parfois de longs discours.
Le maire réélu Jean-Luc Moudenc se satisfait du renouvellement citoyen de son équipe municipale. Mais les adjoints élus ce vendredi dans son équipe sont, pour la plupart, déjà bien connus des Toulousains.
Bruno Bernard élu dans un fauteuil, l’opposition éclatée en quatre, la composition de l’exécutif : récit du premier conseil de la Métropole de la mandature.
A peine élu, l'ancien directeur de campagne de la candidate LR démissionne de ses mandats. Une mise en retrait qui fait suite à la lourde défaite enregistrée par la droite lors des élections municipales.
L'analyse du scrutin par bureau de vote met en évidence une solide implantation de la droite dans deux arrondissements, des poches de résistance de fidèles de Gérard Collomb et une abstention vertigineuse dans certains quartiers prioritaires.
Dans Le Progrès, l’écologiste Bruno Bernard annonce qu’il confiera la première et deuxième vice-présidences du Grand Lyon à Emeline Baume et Béatrice Vessiller.
Dans cette commune rose-rouge de l’Ouest nantais, trois candidats divers gauche bataillent ferme pour séduire de 2 817 électeurs. Leurs armes : promesses sociales, accusations de populisme et plaintes.