
Devant le tribunal, Treillières tente de se débarrasser de sa jardinerie à 722 000 euros
En 2017, la municipalité dirigée par Alain Royer préempte une vieille jardinerie, avant changer d'avis et de renoncer à son achat. Une volte-face qui n'était évidemment pas du goût du vendeur, ni des juges administratifs. Condamnée en première instance, la commune tente à nouveau en appel de se débarrasser de son coûteux fardeau.