Fragilisé, le directeur général d’Audencia lâche son poste

En poste depuis 2018, Christophe Germain ne candidate pas à un nouveau mandat. Un départ surprise, dix mois après les révélations de Mediacités sur le management toxique au sein de l'école de commerce nantaise.

Christophe Germain, directeur général d’Audencia depuis 2018 (c) Capture d’écran Youtube
Christophe Germain, directeur général d'Audencia depuis 2018. / Capture d'écran Youtube

Un simple communiqué de presse, envoyé un lundi 17 juillet, à 21h36… C’est ainsi que Christophe Germain a quitté la direction d’Audencia, à l’issue d’un premier mandat de cinq ans. « Christophe Germain a informé (…) le conseil d’administration d’Audencia qu’il ne souhaitait pas renouveler son mandat de directeur général (…) et ce malgré toute la confiance accordée par la gouvernance de l’école. Le recrutement de son successeur est immédiatement lancé », indique le texte sibyllin.

Comme pour mieux tirer un trait sur l’annus horibilis que vient de traverser l’école de management nantaise. Et faire oublier la confiance rompue depuis de longs mois entre la direction

Nous vous offrons l’accès à cet article

Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours  !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner  !

En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
  • J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
  • Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité

Profitez de toutes nos enquêtes !

Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation indépendant sur les pouvoirs locaux. Et ses enquêtes ont de l’impact !
Abonnez‐vous pour profiter d’infos exclusives sur votre ville et soutenir le travail de ses journalistes.
(69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement)

Je soutiens Mediacités


Publié le

Modifié le

Temps de lecture : 3 minutes

Favorite

Par Thibault Dumas