Un supplice chinois… Voilà à quoi ressemble la dégringolade du promoteur immobilier nantais Réalités. En à peine deux ans et demi, le groupe est passé de 1 000 à 200 salariés (prévision 2025) et se débarrasse petit à petit de ses actifs. « Le rebond, le retournement, le redressement. […] C’est l’ambition la plus haute que j’ai jamais eue en tant que dirigeant », martèle sur LinkedIn son fondateur, Yoann Choin‐Joubert.
Parti s’installer à Paris depuis quelques mois, le médiatique PDG semble devenu un adepte de la méthode Coué. Il faut bien ça. Après avoir multiplié les filiales et les projets, toujours plus divers, clinquants et risqués, le voilà contraint de les abandonner en série. Face à lui, un mur de dettes estimé à un demi‐milliard d’euros. Entamée le 28 septembre, la procédure de conciliation avec ses créanciers suit son cours.
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