La Braderie de Lille est « la plus grande manifestation d’économie circulaire de France », répète régulièrement Martine Aubry. Mais dans le même temps, elle est également l’un des événements les plus polluants. La Voix du Nord avait l’an dernier estimé son empreinte carbone à 30 000 tonnes de CO2, soit l’équivalent des émissions annuelles d’une ville comme Lezennes.
Si cette pollution est avant tout due aux trajets en voiture et en avion des quelques deux millions de visiteurs de la Braderie, la production de déchets est elle locale et donc bien plus palpable. Gobelets, emballages, barquettes de frites et récipients pour les moules… près de 350 tonnes de détritus sont collectés chaque année dans les rues de Lille, rien que dans la nuit du dimanche au lundi.
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