Olympique lyonnais : pourquoi la vente de la LDLC Arena est inquiétante

La salle de sports et de spectacles qui ouvre ses portes à Décines le 23 novembre a été mise en vente par John Textor, le nouveau propriétaire de l’OL Groupe. Une décision qui va à l’encontre de la stratégie menée par son prédécesseur Jean-Michel Aulas et qui suscite bien des doutes et des questions.

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La salle LDLC Arena, nouvel équipement de l'OL Vallée, doit être inaugurée ce 23 novembre 2023. Photo : MaxPPP.

Pas encore inaugurée et déjà mise en vente par son propriétaire. C’est le cadeau de naissance de John Textor, le nouveau patron de l’Olympique lyonnais, à la salle de sports et de spectacles ultramoderne qui ouvre ses portes jeudi 23 novembre, à Décines, au cœur de l’OL Vallée. Pour son premier événement, elle accueille le match d’Euroligue de basket opposant l’Asvel au Bayern Munich.

Baptisée LDLC Arena par la grâce d’un contrat de naming avec le distributeur de matériel informatique, cette salle « multifonctionnelle » de 6 000 à 12 000 places, se serait bien passée d’une telle publicité. Un bad buzz qui vient contredire les discours vantant ses performances techniques, comme son « cube », un écran géant suspendu à quatre faces de 140 mètres carrés, ou le fait qu’elle serait « le premier équipement sportif au monde en terme de production photovoltaïque ». Pourquoi, alors, se débarrasser d’une telle merveille ?

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Publié le

Temps de lecture : 7 minutes

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Par Yves Adaken

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