Les vagues brunes érodent les rivages de l’île métropolitaine lyonnaise. C’est le principal enseignement local du scrutin européen qui a vu, ce dimanche 9 juin, le Rassemblement national devancer largement ses adversaires avec plus de 31 % des suffrages, provoquant la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron et l’organisation de législatives anticipées les 30 et 7 juillet prochains.
Jusqu’alors, l’agglomération lyonnaise était perçue comme une terre électorale peu favorable à l’extrême droite. Lors des législatives de 2022, le parti de Marine Le Pen avait été rayé de la carte dès le premier tour, même s’il réalisait des scores importants dans certaines circonscriptions. Au lendemain des élections européennes, les digues semblent avoir en partie cédé.
Nous vous offrons l’accès à cet article
Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner !
En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
Profitez de toutes nos enquêtes !
Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation indépendant sur les pouvoirs locaux. Et ses enquêtes ont de l’impact !
Abonnez‐vous pour profiter d’infos exclusives sur votre ville et soutenir le travail de ses journalistes.
(69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement)
Je soutiens Mediacités