La position est pour le moins baroque. En pré‐campagne pour les élections municipales de 2026, Nathalie Perrin‐Gilbert s’astreint à une cure de silence. En mai dernier, lors du premier conseil municipal après son limogeage de l’exécutif, l’ancienne adjointe à la Culture de Grégory Doucet affirmait pourtant vouloir « prendre le temps de rencontrer les Lyonnaises et les Lyonnais. Les écouter vraiment. » Elle ajoutait même : « Ils savent qu’ils peuvent compter sur moi pour les représenter jusqu’en 2026 et au‐delà. »
Et voilà que dans un communiqué publié ce mercredi 6 novembre, l’éternelle frondeuse de la gauche lyonnaise annonce se mettre en retrait de « toute réunion et expression publiques pour une durée indéterminée à ce jour ». En cause, selon elle, « des pressions exercées » par
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