« Le Puy du Fou va revivre. Le Puy du Fou vivra ! », exultait son fondateur Philippe de Villiers au printemps 2020. À l’issue d’un arbitrage sur‐mesure d’Emmanuel Macron, le troisième parc d’attractions de France rouvrait ses portes dès le 11 juin 2020 aux Épesses, en Vendée. Soit un mois avant Disneyland Paris ou le parc Astérix et
Essoré par la crise, le Puy du Fou fait appel au soutien de l’État et… de l’Europe
Le parc d'attraction vendéen a vu sa fréquentation chuter entre 30 et 49 %, et affiche une perte nette inédite de 23 millions d’euros en 2020, d'après les documents que Mediacités a consultés. De quoi obliger la famille de Villiers à solliciter l’aide de l’État et de l’Europe et à recruter un tout nouveau directeur général délégué cet été.