Essoré par la crise, le Puy du Fou fait appel au soutien de l’État et… de l’Europe

Le parc d'attraction vendéen a vu sa fréquentation chuter entre 30 et 49 %, et affiche une perte nette inédite de 23 millions d’euros en 2020, d'après les documents que Mediacités a consultés. De quoi obliger la famille de Villiers à solliciter l’aide de l’État et de l’Europe et à recruter un tout nouveau directeur général délégué cet été.

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Nicolas de Villiers (à gauche), en visite sur le chantier de la déclinaison espagnole du Puy du Fou, à Tolède. / Photo : CC - Emiliano García-Page Sánchez

« Le Puy du Fou va revivre. Le Puy du Fou vivra ! », exultait son fondateur Philippe de Villiers au printemps 2020. À l’issue d’un arbitrage sur‐mesure d’Emmanuel Macron, le troisième parc d’attractions de France rouvrait ses portes dès le 11 juin 2020 aux Épesses, en Vendée. Soit un mois avant Disneyland Paris ou le parc Astérix et 

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Par Thibault Dumas