Emmanuel Macron l’avait annoncé dès la campagne présidentielle : le secteur du logement social ferait l’objet d’une grande réforme. Il a tenu sa promesse. Les bailleurs sociaux sont notamment priés de compenser une baisse des APL – autrement dit une dépense de l’Etat -, par une baisse équivalente des loyers. Ce dispositif complexe, qui porte le nom de Réduction de loyer de solidarité ou RLS, est donc pris en charge par les organismes et sociétés HLM qui se retrouvent avec un manque à gagner de 1,3 milliard d’euros par an (des mesures de compensation ont toutefois été prises à hauteur de 400 millions en mars dernier).
A Toulouse et en Haute‐Garonne, cette perte financière intervient après plus de dix ans d’efforts pour combler le manque de logements sociaux. Alors que la demande explose (+41 %), Mediacités a cherché à savoir quelles étaient les conséquences de ce désengagement de l’Etat. Le tour du problème en quatre questions.
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