Dès la fin du premier confinement et de la trêve hivernale, prolongée cette année jusqu’au 10 juillet en raison de l’épidémie de Covid‐19, les procédures d’expulsions de squats se sont multipliées à Toulouse. Une dizaine de femmes, d’hommes et d’enfants rue Roquelaine, plusieurs dizaines au squat Cazeneuve aux Minimes, ou encore 85 autres à l’ancien Ehpad de Blagnac ont été évacués ces derniers mois. Après la fermeture du squat de l’avenue de Muret suite à l’incendie de février dernier, les autorités ont confirmé leur inflexibilité en la matière.
L’entrée en vigueur du reconfinement n’offre pas de répit aux occupants de squats.
Nous vous offrons l’accès à cet article
Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner !
En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
Attention, journal en danger !
Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation sur les pouvoirs locaux et ses enquêtes ont de l’impact dans les villes. Aujourd’hui notre existence est menacée.
Soutenez la rédaction, ses journalistes et la démocratie locale :
Je soutiens Mediacités
- en vous abonnant (69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement) pour lire toutes les enquêtes
- en effectuant un don (défiscalisable à 66%) pour soutenir le travail et assurer la survie d’un journal local indépendant, sans pub et à impact.