Ce 12 juin 2015, David Roquet est condamné à payer de lourds dommages et intérêts à son ancien employeur, SNC MEN (Matériaux Enrobés du Nord), une des filiales du groupe Eiffage, dans l’affaire dite du Carlton de Lille. La condamnation porte sur plusieurs factures enregistrées en comptabilité par David Roquet sans l’accord de Jean‐Luc Vergin, son supérieur hiérarchique, selon la position d’Eiffage confirmée par la justice. Une version inlassablement contredite par David Roquet depuis ses propos tenus dans nos colonnes. Et voilà que le géant du BTP, qui ne s’était jamais manifesté pour réclamer son dû, a mandaté début mai 2017 un avocat parisien pour faire exécuter le jugement, comme Mediacités est en mesure de vous le révéler. Soit près de deux ans après la condamnation de David Roquet !
Eiffage : le groupe de BTP ne fait plus de cadeaux
Rien ne va plus entre le groupe de BTP et son ancien cadre, David Roquet, impliqué dans l’affaire dite du « Carlton de Lille ». Deux ans après la condamnation de ce dernier, Eiffage demande l’exécution du jugement. David Roquet réplique en déposant plainte au motif d’escroquerie au jugement. Et déballe…