Métropole de Lille : un président ne devrait pas s’entourer comme ça…

Le fonctionnement du cabinet du président suscite des critiques croissantes au sein de la collectivité, y compris parmi des élus de la majorité. Postes non pourvus, turnover élevé, nominations douteuses ou encore avantages injustifiés... Damien Castelain semble rester sourd aux alertes.

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En août 2020, le président de la MEL, Damien Castelain, appelle à ses côtés Brahim Azallade, un novice complet dans le monde des collectivités locales, et lui accorde le titre flou de conseiller spécial. Illustration : Pierre Leibovici

Mais que se passe‐t‐il à la MEL ? Alors que la collectivité semble en ordre de marche, qu’elle concrétise – enfin ! – des projets importants au premier rang desquels le Schéma directeur des infrastructures de transport (SDIT), alors que le nouveau patron des services, Marc Pons de Vincent, poursuit avec poigne et méthode la réorganisation complète de ce paquebot de 2 600 agents, Mediacités a recueilli de nombreuses critiques spontanées au sujet du (dys)fonctionnement du cabinet du président. Un cabinet « inexistant » voire « catastrophique », selon les termes utilisés par deux vice‐présidents, pourtant membres de la majorité de Damien Castelain. Un « bunker », selon des salariés de la MEL.

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Publié le

Temps de lecture : 7 minutes

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Par Jacques Trentesaux