Plus de 4 500 kilomètres séparent Décines‐Charpieu du Haut‐Karabagh, mais le conflit qui secoue ce territoire du Caucase trouve un écho retentissant dans la commune de l’Est lyonnais. Là, entre le canal de Jonage et le grand stade de l’Olympique lyonnais, vivent environ 5 000 Arméniens ou Français d’origine arménienne, soit près de 18% de la population municipale. Une présence ancienne comme en témoigne la Maison de la culture arménienne, située rue du 24 avril 1915 (date du début du génocide), qui a succédé au foyer ouvert en 1932 par des rescapés des massacres perpétrés par l’Empire ottoman. Une présence chahutée depuis cet été : à deux reprises, les Loups gris s’en sont pris à « la petite Arménie » du Rhône.
Le 24 juillet dernier, sous l’œil
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