Une berline de la police municipale garée le long du trottoir et deux agents postés sous l’enseigne du McDonald’s. Il règne, ce lundi 22 novembre, une étrange ambiance sur la place Gabriel‐Péri. Étrange car calme. Depuis la démonstration de force de vendredi dernier [lire plus bas], des hommes en uniforme font le siège du cœur de la Guillotière, que beaucoup continuent de désigner par son ancien nom de « place du Pont ». Pour combien de temps ?
Rixes, vols, incivilités et même coups de feu… Depuis des mois, pas un jour ne passe sans que la presse lyonnaise chronique le chaos dans lequel serait plongé Gabriel‐Péri. A raison ? Depuis des semaines, Mediacités s’est immergé sur la place, devenue synonyme de polémiques politiciennes et de descentes de policiers, pour rencontrer et raconter ceux qui y passent, y travaillent – pas toujours légalement – et y vivent. Écouter aussi d’autres voix que
Nous vous offrons l’accès à cet article
Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner !
En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
Attention, journal en danger !
Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation sur les pouvoirs locaux et ses enquêtes ont de l’impact dans les villes. Aujourd’hui notre existence est menacée.
Soutenez la rédaction, ses journalistes et la démocratie locale :
Je soutiens Mediacités
- en vous abonnant (69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement) pour lire toutes les enquêtes
- en effectuant un don (défiscalisable à 66%) pour soutenir le travail et assurer la survie d’un journal local indépendant, sans pub et à impact.