Lentement, la future ligne ferroviaire à grande vitesse entre Lyon et Turin creuse sa route sous les Alpes. Le tunnel transfrontalier plonge désormais sous terre sur onze kilomètres. À terme – sa mise en service est prévue pour 2030 -, il devrait en compter 115 (57,5 kilomètres dans un sens, 57,5 dans l’autre, le tunnel étant bitube). Ce chantier titanesque, chiffré à 18,3 milliards d’euros, ne va sans pas sans provoquer débats et contestations quant à son coût financier ou écologique [lire nos précédentes publications recensées à la fin de notre article]. Mais ces derniers mois, un nouveau front s’est ouvert entre promoteurs, opposants et riverains du futur Lyon‐Turin : l’eau potable.
À l’offensive, l’association Vivre et agir en Maurienne a saisi
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