Lentement, la future ligne ferroviaire à grande vitesse entre Lyon et Turin creuse sa route sous les Alpes. Le tunnel transfrontalier plonge désormais sous terre sur onze kilomètres. À terme – sa mise en service est prévue pour 2030 -, il devrait en compter 115 (57,5 kilomètres dans un sens, 57,5 dans l’autre, le tunnel étant bitube). Ce chantier titanesque, chiffré à 18,3 milliards d’euros, ne va sans pas sans provoquer débats et contestations quant à son coût financier ou écologique [lire nos précédentes publications recensées à la fin de notre article]. Mais ces derniers mois, un nouveau front s’est ouvert entre promoteurs, opposants et riverains du futur Lyon‐Turin : l’eau potable.
À l’offensive, l’association Vivre et agir en Maurienne a saisi
Nous vous offrons l’accès à cet article
Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner !
En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
Profitez de toutes nos enquêtes !
Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation indépendant sur les pouvoirs locaux. Et ses enquêtes ont de l’impact !
Abonnez‐vous pour profiter d’infos exclusives sur votre ville et soutenir le travail de ses journalistes.
(69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement)
Je soutiens Mediacités