De ses années d’internat aux Chartreux, prestigieux établissement catholique de la Croix‐Rousse, Christian Mathieu a longtemps conservé un souvenir en forme de « gruyère », comme il dit. Des petits bouts de ses années en classe de 4e et 3e, entre 1970 et 1972, comme des photos figées. Une ambiance plutôt « dure » dans les vieux murs de l’institution. Ses difficultés scolaires sur fond de lourds problèmes familiaux. Ce surveillant général que les élèves du dortoir surnommaient « le Chat » pour sa capacité à ne pas faire de bruit afin de mieux les surprendre « les mains sous la couverture », un geste prohibé car pouvant cacher une masturbation.
Et puis ce petit bureau aux murs marrons où Christian Mathieu avait été convoqué par le père Georges Babolat, justement pour un tel « péché ». A l’époque, le prêtre
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