« Pression », « surveillance », « climat de suspicion »… Quand les éboueurs nantais évoquent leur quotidien au travail, les mots employés sont, pour le moins, peu flatteurs. « La réorganisation du service (entrée en vigueur le 1er octobre 2017, NDLR) s’est transformée en pénibilité psychologique quotidienne pour les agents », résume, un peu résigné Ricardo, l’un des ripeurs interrogés par Mediacités. « Les gars viennent à reculons au travail », abonde Yves Lamy, délégué CGT, majoritaire au sein de la collecte.
Ce « ras le bol général » semble profond. Suffisamment, en tout cas, pour pousser l’un des 200 agents de la collecte à un geste désespéré, sur son lieu de travail, comme Mediacités est en mesure de le révéler. Le 18 juillet dernier, au petit …
Nous vous offrons l’accès à cet article
Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner !
En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
Attention, journal en danger !
Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation sur les pouvoirs locaux et ses enquêtes ont de l’impact dans les villes. Aujourd’hui notre existence est menacée.
Soutenez la rédaction, ses journalistes et la démocratie locale :
Je soutiens Mediacités
- en vous abonnant (69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement) pour lire toutes les enquêtes
- en effectuant un don (défiscalisable à 66%) pour soutenir le travail et assurer la survie d’un journal local indépendant, sans pub et à impact.